Dans The Endless River, Oliver Hermanus semble rompre avec le réalisme sociologique de ses deux films précédents : Shirley Adams (2009) et Beauty (2011). En effet, ce troisième long métrage a tout pour être un drame social, mais Hermanus en a voulu autrement. Le réalisateur sud-africain choisit de s'engager dans une nouvelle exploration où les ingrédients sont les sentiments, le sens de la justice et la renonciation à la vengeance avec une mise en scène toute en subtilité et finesse.
par Hassouna Mansouri